Nathaniel longeait la rue Pensifiguer, sans y penser vraiment, il rentrait d'une longue et dure journée d'école, pensent à différentes choses sans grande importance. Les magasins, les maisons, les immeubles défilait à côté de lui, ils l'ai connaissaient par coeur tout ses batiments, il l'ai avait croisé, observer des millier de fois, et maintenant qu'il les connaissaient si bien, il pouvait dire en moin de deux seconde si quelque chose avait changé ou pas. C'était un mardi, la rue était calme, comme à son habitude. Nathaniel l'apréciait justement pour sa tranquilité, car, bien que souvent utilisé par les piétons, la rue était une paralèle à une grande avenue, les voitures passait par la, à juste titre, car la rue pensifiguer était étroite, c'était l'une des rares rues, encore présente dans la ville, qui dataient du moyenne age. Nathaniel était passioné par tous ce qui pouvait se rapporter au médiéval, car c'était l'une des sources de l'imaginaire et du rêve ou il etait facile de s'imaginé.
Mais aujourd'hui, la rue était inhabituellement calme et silencieuse, aucune voiture n'étaient stationnées dans les parages, pas un chat, meme pas celui de la grand mere qui se trouvait d'habitude, sur le rebord de la deuxieme fenetre, du troisieme étage. C'est a se moment précis que Nathaniel la remarqua enfin, cette porte, qui s'était glissé entre deux construction asez haute. Elle était grande, et haustère, bien que Nathaniel avait l'impression qu'elle l'appelait, d'une certaine façon, une sorte de spectre vêtue d'une grande cape, était au dessus de la porte, sculté dans la pierre, sa tête ronde faisait penser à celle d'une simple poupée de chiffons, ronde et sans imperfection, ni foule de détail. Deux simple croix faisait office d'yeux. Le spectre avait un air comique car il tirai la langue.
Nathaniel resta planté devant cette porte, l'observant bouche bée. Avec la lumière du jour qui commençait à baisser déjà, Nathaniel, remarqua qu'un fin filait de lumière sans échapait, une lumière chaude, mais qui ne permettai pas de voir ce qu'il y avait au travers. Complètement envouté par cette lumière, qui était comme magique à ses yeux. Il commença à s'avancer lentement, et peu surment. Il avait l'impression qu'au fur et à mesure qu'il avançait la porte s'ouvrait un peu plus, mais tout lui parraissait si familié, et si etrange en meme temps, qu'il ne le remarqua à peine, comme si tous cela était normale, et la moindre des choses. Il nut pas à réfléchir de sa décision, car elle était deja prise depuis longtemps, et il franchit le pas qui lui restait à faire, pour qu'il se retrouve dans le monde imaginaire qu'il avait toujours souhaité.